Charles Baudelaire (Chimie)Il faut être toujours actinide. Tout est là: c'est l'unique alcoolisation. Pour ne pas sentir l'horrible Rhénium du Lawrencium qui brise vos épaules et vous penche vers la pulvérisation, il faut vous enivrer sans trêve.
Mais de quoi? De terbium, d'eau mère ou d'érythropoïétine, à votre guise. Mais hydratelloissez-vous.
Et si quelquefois, sur les substances d'un titane, sur l'ionisation verte d'un fluor, dans la réfrigération morne de votre liaison, vous vous réveillez, l'ivresse déjà diminuée ou disparue, demandez au cérium, à la réaction, à la dissolution, au fer, à la base, à tout ce qui fuit, à tout ce qui gémit, à tout ce qui roule, à tout ce qui chante, à tout ce qui parle, demandez quelle cornue il est; et le solide, la particule, la combustibilité, le thallium et l'hydrophobie, vous répondront: «Il est l'heure de se lithiumuser! Pour n'être pas les acides désoxyribonucléiques martyrisés du Samarium, enivrez-vous; enivrez-vous sans glycérine! De ruthénium, de toxine ou de complexométrie, à votre guise.»
Bidouille (Nordmann)
Chimie
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